France, 10 min ; 35 mm, couleur, format 1/1,37.
[Générique, caractères blancs sur fond noir :]
Toute révolution est un coup de dés. (Jules Michelet) ;
[écriture manuscrite multicolore sur fond blanc :]
* pour Frans van de Staak, Jean Narboni, Jacques Rivette, et quelques autres. J.-M. S. mai 77 [Générique de fin, caractères blancs sur fond noir :]
Photographie Willy Lubtchansky, Dominique Chapuis ;
Son Louis Hochet, Alain Donavy ;
[Reproduction de la page de titre, caractères noirs sur fond blanc :]
POÈME UN COUP DE DES JAMAIS N’ABOLIRA LE HASARD par STEPHANE MALLARME ; [Photographie du poète posant à sa table, puis caractères blancs sur noir :]
(ré)citants Helmut Färber, Michel Delahaye, Georges Goldfayn, Danièle Huillet ; Manfred Blank, Marilù Parolini, Aksar Khaled, Andrea Spingler, Dominique Villain.
Le nom du réalisateur n’apparaît que sous la forme de ses initiales au bas de la dédicace ; celui de Huillet seulement comme (ré)citante.
– Montage, production : Danièle Huillet et Jean-Marie Straub.
– Tournage : deux jours au cimetière du Père-Lachaise, Paris, 9 et 10 mai 1977.
Matériel : une Arriflex 120, un Nagra.
Sous-titrage : en allemand avec Manfred Blank, Andrea Spingler et Helmut Färber ; en anglais avec Misha Donat ; en italien (1977).